L’histoire qui suit est une histoire épique.
Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé n’est pas une coïncidence.
Tout commence par un beau matin d’été pluvieux. Léger frais dans les voiles, bruine tombant doucement mais sûrement, calme des oiseaux… Zoom sur la petite cabane des vacances au fond du parc…
Le personnage de notre histoire imagine une garde-robe automnale mixant raisonnablement envies, tissus du stock, patrons du stock ET besoins de dressing. Pour le soin de sa bonne santé mentale (et de son porte-monnaie), elle (c’est une femme) a en tête un superbe coupon de jersey léger qui se marierait parfaitement avec ce patron de cardigan Bergen d’Anne Kerdilès, tous deux achetés avant l’été.
Elle n’a encore pas tout à fait compris pourquoi elle avait craqué sur CE patron alors que le Monceau lui trottait dans la tête depuis des mois.
En fait si. Si elle est honnête avec elle-même (et elle s’efforce de l’être), elle veut bien d’un cardigan sage, mais sage… tout relativement : un cardigan sage, AVEC UN BON POTENTIEL TWISTé (la version méga peps de la Chouette embobinée et la version wax de Thérèse Sequin ont contribué à l’envie!).
A son retour au logis, notre héroïne hésite. Oh certes pas sur l’association modèle/tissu, ni même sur l’opportunité de coudre déjà de l’automnal quand le temps s’est remis au chaud. Non.
L’a(mésa)venture certainement liée à la silhouette de base du top Granville du hors-série Modes et Travaux la rend un peu fébrile quant au choix de la taille dudit cardigan… Elle se retrouve devant un gouffre d’hésitation, 38 ou 40, il faut choisir : c’est du jersey donc ça ira, oui mais si c’est trop serré, ça sera moche (en sous-pensée : sa fille n’en voudra jamais, c’est rôse), bon de toutes façons l’objectif est un porté cocoon donc… du 40.
Ce sera du 40.
Elle coupe, elle coud, se perd un peu dans les méandres des explications comparées avec le visuel de certaines aventurières prédécesseuses : faut-il (ou ne faut-il pas) coudre les plis sur 3 centimètres?
La couture (comme la vie) est affaire de choix : elle coudra. S’en voudra à moitié après coup (pour les épaules, c’est bien, ça « aplatit » le gonflant, pour le bas, l’esthétique serait meilleure sans) mais c’est comme ça, elle a choisi, elle assumera son choix.

**le décor de la vraie vie derrière, c’est cadeau**
Le reste ira comme sur des roulettes. Cerise sur le gâteau, elle découvre que, pour la première fois depuis qu’elle y prête attention, depuis qu’elle veut vraiment que la couture lui soit sur mesure : la silhouette de base a les mêmes longs bras qu’elle, même pas besoin de rallonger de 2/3 cm comme elle en a pris l’habitude.
Bonheur, joie, plaisir!
A l’essayage, elle a bien vu que la longueur totale du cardigan n’était pas tout à fait celle qu’elle s’était fantasmatiquement imaginée, un peu trop long à son goût mais… quand le tissu est coupé, il faut le coudre (*adage bien connu des couturières, c’est comme pour le vin*).
Puis vint le temps des boutons pressions.
C’est à chaque fois la même histoire, la couture se déroule bien, elle est heureuse du vêtement près d’être terminé et il y a le frisson de la finition, la sombre inquiétude de la dernière ligne droite, le fantôme des pressions et autres boutonnières foireuses qui s’invite dans l’atelier. A croire qu’en le craignant, on le provoque. Et soudain, c’est le drame.
Nouvellement convertie à la pression posée à la pince prym, elle se réjouit de son nouveau joujou, qui va lui permettre sans coup férir de porter l’estocade à son cardigan doudou (paix pour le voisinage, finition moderne, exécution rapide), d’envoyer loin de son esprit tout fantôme vengeur et bam. L’erreur de débutante, l’épreuve sur le chemin de l’apprentissage, la vie qui lui présente une nouvelle leçon à écrire cent fois : TU NE FERAS PAS LE PETIT TROU PREPARATOIRE DANS DU JERSEY (sous peine d’écartement et perte de toutes les-dites pressions).
Pas une n’a tenu.
10 pressions fichues, des trous béants, un cardigan à la dérive, une cousette incertaine de son avenir (poubelle or not poubelle? poubelle is the question)…
Avant d’opter pour la solution radicale, alors forte d’une zénitude de vacancière détendue, notre héroïne s’en remet au destin et fait appel au grand conseil des couturières-sorcières (aka instagram). Oh, elle a bien lu deci-delà des critiques du réseau, elle s’est surprise parfois à trouver un peu trop licornesque les descriptions de certaines ou s’est prise à douter de la véracité de certains comptes lisses, beaux, magiques tous les jours, mais elle s’est aguerrie, une dizaine d’années de blogging lui a permis d’expérimenter l’envie, la comparaison parfois délicate avec sa propre vie de couturière (trop ci, trop ça, pas assez rapide, pas assez tendance…) et lui a appris peu à peu à s’en fiche. Parce qu’en vérité, ce qu’elle cherche dans le réseau, elle l’a, une nouvelle fois, trouvé au détour de son chemin d’aventure : l’échange, le partage d’expérience, l’enrichissement du savoir et le soutien partagé (merci énormément Mesdames)*.
C’est là qu’elle a appris QU’IL NE FALLAIT vraiment PAS FAIRE LE PETIT TROU PREPARATOIRE DANS DU JERSEY! Ensuite, elle a profité des échanges pour réfléchir à la meilleure option qui se proposait à elle (hormis la poubelle) et grâce au soutien précieux de la grande sorcière Marie Poisson (MERCI!!!), elle a opté pour la voie du recousage du trou (grand frisson assuré du risque force 10 de la mocheté de la chose)(qui pourrait être pire au final) puis pressions à griffe (la paix du voisinage ne saura être totalement préservée, le marteau tombera, on ne fait pas d’omelette sans casser des boutons pression).
L’histoire pourrait s’arrêter là si les pressions à griffe n’avaient elles aussi leur fourbitude (copyright du néologisme à déposer prochainement), et elle a dû recourir à une deuxième boîte de pressions pour parvenir à ses fins (elle a été forte, elle est entrée dans l’antre tentatrice, a pris ses pressions, une fermeture éclair nécessaire à un prochain projet et… rien d’autre)(l’histoire ne dit pas qu’elle avait craqué deux jours auparavant pour quatre mètres de tissu pour projets hivernaux)(elle ne le dit pas on a dit).
Et elle vécut heureuse, avec son cardigan doudou, parée pour les dimanches canapé de temps pourri automnal.
**Aucun chausson-licorne n’a été maltraité pendant cette prise de vue.
Toute joie exprimée de réaliser ENFIN la séance photo de ce cardigan ne saurait être le fruit du hasard.
Mise en scène (et propriété des-dits chaussons) ©ma photographe en herbe.**
Patron : Cardigan Bergen, Anne Kerdilès Couture.
Taille : 40.
Modifications : aucune.
Matières : molleton léger Twinkle rose Atelier Brunette, pressions métal Mondial Tissus.
Rayon portabilité : charmant avec ses petits détails aux manches qui tombent bien dans ce molleton léger, cosy, confort, un tantinet trop large (ma fille a eu ce verdict sans appel : ça te grossit)(oui bon, on a dit en mode cocoon, pas en mode sexy chocolat). La légère froidure des matins de septembre m’a déjà permis de cocooner joliment avec mon cardigan rosissant, objectif clairement atteint donc!
Une option « ajout de flex de la mort qui tue » avait été envisagée mais… ceci est une autre histoire.
Une prochaine fois? peut-être mais dans ce cas, avec plein de modifications : plus court, en hack « teddy » comme je l’ai vu parfois avec un ajout de col et de bracelets manche, plus ajusté en 38 en prévision d’un porté ville, éventuellement en tissus contrastants… J’ai aussi remarqué que, pour l’instant, je l’ai seulement porté fermé, et j’ai vu un hack sweat (je ne me rappelle plus chez qui), ça serait cohérent… A voir!
* et visiblement, l’expérience a servi à d’autres, et ça, c’est encore du bonus 🙂
Et vous, quelles cousettes de rentrée?
Oh mais quelle aventure dis donc !!! Heureusement que cela se termine bien avec des superbesoins chaussons Licorne en plus ! !
Je crois que je vais rester sur mon envie de Monceau 😉😂
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N’est-ce pas? hihi, ça m’amuse bien toutes ces péripéties quand même, mais je suis surtout ravie d’avoir pu sauver mon joli gilet! Je te comprends pour le monceau, il me parait bien plus simple à porter, comme je n’ai pas le patron et que j’ai quand même une idée de veste basique, il est possible que je réinterprète la veste simple du hors série modes et travaux anne kerdilès, en base…
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Félicitations pour ta persévérance. Cela fait une jolie tenue décontractée avec le pantalon et les chaussons licorne ( trop bien ) ( mais pratiques? )
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Merci, je risquais de ne pas aller au bout si je ne finissais pas ce projet avant d’en commencer un autre et les chaussons… parfaits pour glander mais pas pour marcher!!!
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oh oui je me souviens de cette histoire didonc…oui les boutons pressions…et a la fin toute une reussite…avec de jolis chaussons…
et au debut mon groupe fetiche…;)
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Hihi les chaussons sont à ma fille, mais je lui piquerais bien, maintenant que je les ai testés!!! et Radiohead, évidence!!!
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oh oui totale evidence…lol
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Bravo pour ce sauvetage rondement mené ! ce gilet revient de loin, mais ça valait le coup car il est top !!!
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On aurait pu penser gilet de sauvetage, non, c’est un gilet sauvé ;D Merci!
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J’ai beaucoup ri et je me suis naturellement sentie très soulagée de savoir que toutes les licornes de la terre étaient heureuses à la fin…lovées dans leurs jolies vestes toutes douces…J’ai testé le Monceau et je l’adore. J’ai d’ailleurs très envie d’en coudre un autre tellement j’aime le premier, et je n’ai eu aucun souci de réalisation dans mon souvenir. Je mets régulièrement des pressions avec ma pince et je ne fais jamais de trou avant (même si ce n’est pas du jersey) et j’ai eu peu de souci. Une seule pression arrachée mais mon tissu était vraiment fin et malgré la pose d’un renfort, le tissu a fini par céder après plusieurs mois de portage tout de même. Ton histoire nous rappelle aussi que parfois on se lance dans des coutures a priori simples et on se retrouve avec des ennuis à ne plus finir.
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C’est vrai que là, j’étais partie pas inquiète sur la réalisation, sauf que je ne maîtrise pas encore tout à fait la pince, faut croire, tu ne fais pas de trou sur le chaîne et trame non plus? mais comment ça marche alors? (j’ai testé une fois, ça n’avait pas fonctionné).
Quoiqu’il en soit, oui, toutes les licornes s’en sortent à merveille, ravie de t’avoir faire rire 🙂
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Quelle belle histoire!! J’adore quand ca finit bien ! (Et tu as du talent pour raconter!).
Bravo pour avoir persévéré parce que ca vaut le coup, joli résultat’
J’ai aussi repéré le Monceau…depuis très longtemps. A suivre.
Bon cocooning à toi!
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ça y est, il fait froid, donc c’est parti pour le mode cocoon 🙂
merci pour le talent, ça m’amuse beaucoup, voilà pourquoi je ne me satisfais pas tout à fait d’IG, de temps à autre, j’aime développer!!!
Et le monceau du coup, j’suis pas sûre d’investir dans le patron, je manque de tout, sauf de modèles j’ai l’impression, donc je vais décliner, pendant au moins quelques temps… C’est de molleton/jersey, dont je vais voir besoin je crois.
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Oui je pense que ce n’est pas du tout la même utilisation. J’adore écrire aussi…faut juste que je prenne le temps!!
Pour le Monceau, je pense déjà faire veux du livre «coudre le jersey» et si ca ne me convient pas j’investirai. Mais j’attends depuis un mois la commande Panda Love et ca commence vraiment à m’énerver parce qu’il y a les tissus unis pour les sweats…
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Ravie de voir que tu as sauvé ton gilet. Grâce à ton appel à l’aide j’avais également sauvé celui de mon fils! Plus de trou chez moi non plus sur aucun tissu avant de poser les pressions. Je les pique juste dans le tissu.
Les chaussons de ta fille me rappelle ceux de mon adolescence. Spécial coocooning, absolument pas fait pour marcher !!! En tout cas t’as un très beau gilet, sauvé in-extremis !
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Tout s’est bien terminé pour nos deux projets alors, tant mieux!!! et je retiens, je testerai aussi sur du chaîne et trame, vous êtes plusieurs à le faire ainsi.
Oui, j’ai aussi eu des chiens ou des ours ou je ne sais plus mais là, les licornes, c’est un peu la classe quand même 🙂
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C’est clair les licornes c’est plus que la classe!!! Il te faudrait une version tdm si j’ai bien tout suivi.
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Ah mais carrément, j’sais pas si ça existe, tiens!!!
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ahhh tu me donnes la pêche quand je te lis…. quel plaisir! et puis tes histoires se terminent bien!! alors bravo pour le gilet (très chouette, j’aime beaucoup le tissu) et pour la mise en scène, accessit pour la fifille!
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Merci merci, j’adore que ça te fasse cet effet-là, et oui, tant qu’à faire, les histoires qui se terminent bien, c’est plutôt mieux.
C’est vrai que j’ai peu parlé du tissu, je l’aime beaucoup, même si en le recevant je l’ai trouvé « terne », un rose un peu plus passé que je n’avais cru en le commandant. Mais une fois transformé, je l’aime bien, et il est douillet sans être épais, c’est vraiment très agréable.
Merci pour ma puce, je lui transmets avec plaisir, ce sont de jolis moments de complicité avec mon ado!
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J’ai adoré l’histoire ! Tu en as bavé mais tu l’as vaincu ce scrogneugneu de cardigan !
et maintenant, vive l’hiver et les soirées cocooning !
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Tant mieux si l’histoire t’a plu 🙂 en tout cas, j’ai appris des trucs et ça, j’aime bien, et… ça marche pour les petits matins frais aussi, puisque je le porte au moment-même où je t’écris!
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Ta façon d’écrire m’a fait rire de bon matin alors merci ! Et puis on se retrouve bien à travers ton récit… 😉
Et l’obstination paye, c’est un peu la morale de l’histoire !
Pour les pressions kam, j’utilise une presse et plus aucun problème à déclarer depuis…
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Ravie d’avoir déclenché ton rire 🙂 C’était le but, en même temps, et je me doute que je suis loin d’être la seule à me confronter à ces petites étapes sur le chemin de la couture ludique! En même temps, ça m’a aussi ajouté du plaisir à la réussite finale, donc c’est un bon point!
Ah oui, une presse, ça doit être pas mal du tout… Je continuerai de tester (ma prochaine couture ne sera sans doute pas avec pressions mais boutons classiques donc… pas tout de suite!)
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J’ai été tenue en haleine tout du long de cet épisode palpitant. Quel suspens ! Heureusement tout est bien qui finit bien. Et ils vécurent heureux de nombreuses années à cocooner. Il est très sympa ce cardigan et j’aime beaucoup la couleur. En ce qui me concerne j’ai abandonné les pressions de toute sorte. Je suis maudite ça ne tient jamais.
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Je me souhaite (et à mon cardigan) de passer en effet de nombreuses années à cocooner ensemble! 😀
Parfois, une malédiction ne demande qu’un peu d’obstination pour céder, bon, là, j’ai appris de mes erreurs et ça ne devrait plus se renouveler!!!
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:-D))))
Eh oui, la couture, c’est une aventure ! Comme je comprends la dernière photo ! Elle est superbe ! Bravo à L.
Je suis fâchée avec les pressions en ce moment, alors chapeau bas !
J’aime beaucoup la coupe de ce cardigan, tu le portes très bien 🙂 Houra !
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Je transmettrai à ma puce, les séances ensemble sont toujours très drôles, même si je suis encore moins à l’aise que quand je fais de l’auto-shooting 🙂
Bizarre comme de si petites choses (les pressions) peuvent causer autant de problème à autant de monde!!! Elles n’auront pas notre peau 😀
et merci pour la coupe, je l’aime beaucoup en mode cocoon, loose juste comme il faut…
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Un vrai roman la couture de ce gilet! Et instructif: j’en ai appris concernant les pressions et le jersey. Au final tu devrais pouvoir le porter autrement qu’en mode cocooning, il est charmant. (Moi qui ai eu deux garçons, pas de chaussons licorne, mais des chiens, des sangliers, des monstres…je suis passé à côté de quelque chose!)
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Ravie que tu aies ainsi pu apprendre un truc 🙂 la mienne n’est pas en reste niveau monstres mais en effet bien moins sangliers!!! hihi 😀
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Quelle aventure !!! Contente qu’elle finisse bien ! Les chaussons licornes te vont bien et te donnent la pêche ! Superbe cette photo ! 😀
Jusqu’à présent, je n’ai posé des pressions que sur des tissus chaîne & trame et toujours fait un trou avant perçage sans jamais rencontrer de problèmes avec mes pressions. Tes mésaventures m’inquiètent car j’ai prévu de poser des pressions sur du jersey… pour la première fois… du coup j’ai peur maintenant !!! Bon je ne ferai pas de pré-perçage ! En même temps, je crois que l’on a pas la même pince et pas le même genre de pressions ….
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Merci Cécile, hihi, je me suis bien amusée avec ma puce, en effet! Sans le trou et quelle que soit la pince, ça devrait le faire sur le jersey, si j’ai tout bien compris, mais je n’ai pas encore retesté… Pas eu de souci sur le chaîne et trame non plus.
C’est bon, tu te remets à la couture??? ;D
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La pose de pressions sur du jersey c’est pour finir un gilet qui est cousu depuis avril ou mai sans avoir été fini ni porté puisque je devais me coudre haut et bas pour aller avec.
La reprise de la couture ce n’est malheureusement pas pour tout de suite, de plus mon espace couture va être en travaux dans 2 semaines.
Mais bonne nouvelle, j’ai pris le temps de coudre mon 2ème tee-shirt TDM ! 😀
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Rholala, t’as rénové de fonds en combles!!! Allez, t’es sûre que t’as pas besoin d’un p’tit gilet pour les matins frais d’octobre??
et donc ok, ce deuxième tshirt… on le voit quand??? 😀
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Non c’est un gilet estival avec des manches courtes donc pas de saison !
On le voit… ce soir ou demain matin ! 😀
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Hé mais comment ai-je pu zapper de venir lire ici l’aventure rocambolesque de ce magnifaique gilet-doudou ?
En tout cas, je kiffe !! /* oui les chaussons aussi !!! */
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Mais oui mais comment donc as-tu pu zapper les licornes??? hummm??? les voies de la blogueuse sont impénétrables, si si… 😀
Merci, je le trouve vraiment mais alors vraiment cocoon trop bien!!!
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Eh be…t as bien fait de rien lâcher, il est trop chouette!
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Merci m’dame! Il fait mon délice des petits matins frais 🙂
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Quel bel article et – accessoirement (lol) – quel beau sweat ! Mais dis donc, quand tu te mets en mode conteuse, on dirait la coupine Tasticottine.
Je connais l’angoisse des boutons pression et autres finitions, car – bien que je ne fasse pas de « pré-troutrous », je suis toujours en mode « jetournelapincedanstouslessens ». Ben oui, c’est où qu’il faut mettre la pression papa pour qu’elle trouve le trou de la pression maman? Et où sont les 3e et 4e mains nécessaires au maintien simultané du tissu, de la pince et des pressions ? Pfff… le stress. Je suis contente pour toi que tu aies réussi à sauver ta jolie cousette rose.
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Wow, c’est un joli compliment que tu me fais là, j’aime beaucoup la façon d’écrire de M’me Tasticottine.
Hihi, tu m’as bien fait rire avec tes 4 mains, c’est vrai que parfois… ça manque!!! Mais au final, on se fait plaisir quand même, n’est-ce pas? et oui, ma cousette rose me contente au quotidien, c’est très agréable!
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